Envie d’échanger avec une femme maghrébine à Meaux ?

Les femmes arabes de Meaux n’attendent plus. Chouf, dans les rues de Beauval ou devant les tours de Dunant, leur démarche raconte tout : fierté, bsla, et ce regard qui dit « rani là, j’existe ». Ici, le quartier parle fort, mais les hommes oublient parfois que ces filles ne sont pas à vendre, ni à juger. À Colinet, entre deux rires et un café, elles rêvent d’amour vrai, pas de promesses en l’air ou de flous faciles. Moi, militant, je vois leur force chaque jour, leur envie d’être vues autrement, loin des clichés. Si tu veux vraiment rencontrer une femme maghrébine à Meaux, commence par respecter son histoire, son courage, sa famille. Le reste viendra, inchallah, parce qu’ici, l’amour se mérite, et la confiance, ça se gagne à la loyale.

Les femmes arabes de Meaux n’attendent plus.

Ce matin, en traversant Beauval, j’ai croisé Samira, foulard coloré et sourire franc, qui discutait devant la boulangerie. Ici, dans les quartiers nord, les femmes ne passent plus inaperçues. Elles avancent, têtes hautes, malgré le regard des hommes, parfois lourd, parfois admiratif, souvent maladroit. Chouf, tu verras : elles ne se laissent pas faire. Rani témoin de leur force chaque jour, dans les halls, sur les bancs, au marché du samedi.

À Dunant, l’ambiance change à la nuit tombée. Les discussions s’animent sous les lampadaires, les jeunes traînent, bsla dans la poche, flous dans la tête. Les filles, elles, marchent vite, esquivent les commentaires, mais savent aussi répondre, avec cette répartie qui fait sourire tout le quartier. Ici, une femme maghrébine, c’est une histoire, une famille, un quartier derrière elle. Ce n’est pas juste un visage croisé au détour d’une rue.

Colinet, c’est la douceur des fins d’après-midi, les enfants qui jouent au pied des tours, les mamans qui veillent du coin de l’œil. Les hommes regardent, parfois trop, parfois pas assez. Mais les femmes, elles, avancent. Elles n’attendent plus qu’on vienne les chercher, elles choisissent. Si tu veux rencontrer une femme maghrébine à Meaux, oublie les clichés. Viens avec respect, avec sincérité. Ici, tout se sent, tout se sait.

Dans ces quartiers, les murs parlent, les regards pèsent, mais les cœurs restent ouverts. Parfois, il suffit d’un regard pour briser les murs.