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Discuter avec une femme musulmane dans les quartiers de Pau

Ces filles qu’on croise en bas de la cité, khouya, elles ne sont plus les mêmes que celles de l’époque de nos darons. À Pau, surtout à Saragosse ou Ousse-des-Bois, tu sens que les tabous tombent doucement. Avant, parler à une fille maghrébine, c’était chelou, tu te faisais griller par la voisine, meskina, qui rapportait tout à la daronne. Aujourd’hui, la nouvelle génération s’assume, discute, rigole sur les bancs, parfois même devant la Monnaie, sans se cacher. On sent la baraka d’un changement : les regards sont moins lourds, les discussions plus simples. Rencontrer une femme maghrébine à Pau, c’est possible, mais il faut du respect et de la patience. Ici, on avance ensemble, entre traditions et liberté, avec ce mélange unique qui fait notre force.

Célibataires musulmanes à Pau : ose la rencontre

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Ces filles qu’on croise en bas de la cité, elles ont ce mélange de force et de douceur qui me rappelle les femmes de ma famille, mais avec quelque chose en plus, un truc de la rue, de Pau, qui ne s’invente pas. Je parle de Saragosse, d’Ousse-des-Bois, de La Monnaie, ces quartiers où les murs portent encore les rires des anciens et les rêves des petits nouveaux. Ici, la communauté maghrébine est partout, mais elle ne se vit pas toujours de la même façon selon les générations.

Quand j’étais plus jeune, khouya me disait toujours de faire attention, de ne pas trop traîner, de respecter les codes. Les filles, elles, c’était encore plus strict. Meskina, elles devaient tout gérer : la famille, les études, les regards. Mais aujourd’hui, je vois que ça change. Les tabous tombent, doucement mais sûrement. Les filles de la nouvelle génération, elles sortent, elles bossent, elles parlent fort, elles rient sans se cacher. Elles ne veulent plus qu’on décide à leur place. Même les anciens finissent par lâcher prise, baraka, la vie est trop courte pour rester coincé dans le passé.

Rencontrer une femme maghrébine à Pau, ce n’est plus aussi chelou qu’avant. Les cafés de Saragosse, les parcs d’Ousse-des-Bois, les fêtes de quartier à La Monnaie, tout ça devient des lieux de rencontres, de discussions, de regards échangés. Les réseaux, les applis, ça aide aussi, mais rien ne remplace le vrai, le face à face, le sourire timide ou le regard qui s’attarde un peu plus longtemps. Faut juste respecter, prendre le temps, comprendre que derrière chaque fille, il y a une histoire, une famille, des rêves parfois trop grands pour les murs de la cité.

Je ne dis pas que tout est facile. Les préjugés existent encore, les peurs aussi. Mais on avance. On apprend à se parler, à se découvrir autrement. Les filles maghrébines de Pau, elles ne cherchent pas à fuir leur culture, elles veulent juste la vivre à leur façon, avec fierté et liberté. Et ça, c’est beau à voir.

Ici, chaque rencontre a son histoire.